Samedi 30 et dimanche 31 mars se déroulait le deuxième we de formation.
Alors que pour le premier week end nous avions été dans l'Estérel, cette fois-ci il s'agissait de prendre un peu de hauteur et d'aller voir de quoi il retournait en montagne.
Direction donc la vallée de la Gordolasque et le refuge de Nice.
Comme nous allions évoluer crampons aux pieds le dimanche, nous avons commencé par voir quelques rudiments de progression sur neige, s'en est suivi à nouveau quelques "exercices" de progression corde tendue dans les moutonnements au dessus du refuge et pour finir la descente en rappel ; du choix de l'ancrage à la pose du descendeur en passant par le positionnement du machard.
En fin d'après midi, tout le monde a travaillé sur l'itinéraire du lendemain, trouver l'accès, avoir un plan B, voire un plan C, déterminer le temps pour les différentes sections et donc l'heure de départ en fonction de l'heure d'arrivée estimée, bref préparer la course.
Après un repas, comme toujours au refuge de Nice, de grande qualité et en quantité, tout le monde file au lit avec la programmation du réveil pour 4h45. Pour simplifier, on s'était dit "on reste sur l'ancienne heure". Perdu, c'était sans compter sur le changement automatique d'heure des appareils modernes.
On a donc pris le temps de déjeuner et de se mettre en route.
Direction le Pas de La Foux en passant au pied de la cime de La Foux. Le timing est respecté, le groupe avance bon train. Pour rejoindre la Cime de La Luisière, une pente raide et expo en traversée oblige les stagiaires à sortir la corde (il était temps..) et à progresser corde tendue avec des points d'assurage entre eux avant de prendre pied sur l'arête à proprement parler. L'encordement est raccourci, le rythme s'accélère un peu.
La descente sur l'arête entre Luisière et Chamineye se déroule anneaux à la main.
Au pied de l'arête nord de Chamineye se pose la question de la poursuite de la traversée. Un regard sur la montre aura fait comprendre à tout le monde qu'il était trop tard, que ce qui aurait du prendre 30 minutes a finalement pris 2h. Par acquis de conscience on ira quand même jeter un oeil sur l'arête de Montolivio puis après un nouvel exercice de rappel, on se laisse descendre vers les lacs Niré et le refuge.
On se quitte après un petit bilan autour d'un coup à boire et une liste de choses à faire d'ici le prochain we.
Alors que pour le premier week end nous avions été dans l'Estérel, cette fois-ci il s'agissait de prendre un peu de hauteur et d'aller voir de quoi il retournait en montagne.
Direction donc la vallée de la Gordolasque et le refuge de Nice.
Comme nous allions évoluer crampons aux pieds le dimanche, nous avons commencé par voir quelques rudiments de progression sur neige, s'en est suivi à nouveau quelques "exercices" de progression corde tendue dans les moutonnements au dessus du refuge et pour finir la descente en rappel ; du choix de l'ancrage à la pose du descendeur en passant par le positionnement du machard.
En fin d'après midi, tout le monde a travaillé sur l'itinéraire du lendemain, trouver l'accès, avoir un plan B, voire un plan C, déterminer le temps pour les différentes sections et donc l'heure de départ en fonction de l'heure d'arrivée estimée, bref préparer la course.
Après un repas, comme toujours au refuge de Nice, de grande qualité et en quantité, tout le monde file au lit avec la programmation du réveil pour 4h45. Pour simplifier, on s'était dit "on reste sur l'ancienne heure". Perdu, c'était sans compter sur le changement automatique d'heure des appareils modernes.
On a donc pris le temps de déjeuner et de se mettre en route.
Direction le Pas de La Foux en passant au pied de la cime de La Foux. Le timing est respecté, le groupe avance bon train. Pour rejoindre la Cime de La Luisière, une pente raide et expo en traversée oblige les stagiaires à sortir la corde (il était temps..) et à progresser corde tendue avec des points d'assurage entre eux avant de prendre pied sur l'arête à proprement parler. L'encordement est raccourci, le rythme s'accélère un peu.
La descente sur l'arête entre Luisière et Chamineye se déroule anneaux à la main.
Au pied de l'arête nord de Chamineye se pose la question de la poursuite de la traversée. Un regard sur la montre aura fait comprendre à tout le monde qu'il était trop tard, que ce qui aurait du prendre 30 minutes a finalement pris 2h. Par acquis de conscience on ira quand même jeter un oeil sur l'arête de Montolivio puis après un nouvel exercice de rappel, on se laisse descendre vers les lacs Niré et le refuge.
On se quitte après un petit bilan autour d'un coup à boire et une liste de choses à faire d'ici le prochain we.
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