Lundi
18 février 2019 au matin, nous retrouvons toute notre petite équipe.
L’étape du jour n’étant pas si longue, le rendez-vous est fixé
à 10h à Castérino.
Pour
plusieurs, c’est une découverte du Mercantour.
Les
parents de Louna, qui ont covoituré tous les non locaux jusqu’à
cette extrémité de l’arc alpin vont rester une partie de la
journée avec nous.
C’est
donc dans la joie et l’allégresse que notre petite équipée se
met en route. Une pause pour midi du côté des lacs jumeaux et c’est
l’heure de se séparer.
Yann,
Frog, Matias, Louna et ses parents fileront du côté du Ste Marie
pendant qu’avec le reste de l’équipe on rejoindra la baisse de
Fontanalbe.
Quelques
virages dans les pentes des rochers du Basto et on se « laisse
glisser », il faudra bien pousser quand même, jusqu’au
refuge de Valmasque.
Le
temps d’ouvrir le bâtiment et d’allumer le feu que les copains
nous auront rejoint. Les « corvées » commencent alors,
aller chercher de la neige pour faire de l’eau, couper du bois,
tout le monde met la main à la pâte.
Ce
soir on est en autonomie, il a donc fallu porter à manger pour tout
le groupe, chacun ayant participé à l’effort collectif. Au repas
minestrone chargé en pâtes, compote et chocolat. Une bonne
vaisselle et au lit. Malgré le nombre, la nuit sera fraîche.
Mardi
19 février
On
commence par remonter le déversoir des lacs gelés en direction du
pas de la fous. Le couloir est raide par endroit, les couteaux sont
vite de sortie. Le ciel bleu bien présent depuis hier ne nous
quittera pas de tout le séjour.
Arrivés
au col, on poursuit notre ascension jusqu’au pas est du Clapier
point de bascule sur le versant italien. Thomas (un jeune du club)
nous rejoint à ce moment et c’est en sa compagnie que nous nous
laissons glisser sur le « glacier » du Clapier. Une
remontée du couloir ouest, encore une nouvelle petite descente et on
rattrape l’itinéraire classique du Clapier que l’on atteint tous
ensemble.
La dernière descente sur le refuge de Nice se passe entre neige frittée et neige de printemps. A 14h30 on est à table pour une bonne assiette de pâtes au pistou.
La dernière descente sur le refuge de Nice se passe entre neige frittée et neige de printemps. A 14h30 on est à table pour une bonne assiette de pâtes au pistou.
L’après-midi
est encore longue et après avoir dégagé quelques tables de la
terrasse et donner de la pelle sur l’accès au refuge, on propose
aux jeunes un petit exercice DVA. Si certains sont excellents,
d’autres ont encore des progrès à faire. Une fois le soleil parti
et histoire de se réchauffer un peu, on reprend les pelles pour un
exercice de pelletage. Et oui la recherche DVA n’est que la
première partie du processus devant permettre de sauver son
camarade, on a ensuite le sondage, à ne pas négliger et le
pelletage souvent bien plus long, on ne s’y entraîne pas assez et
là aussi un peu de méthode ne fait pas de mal.
Christophe
nous chouchoute, soupe de pois cassés, couscous et panna cotta sont
au menu. Après une excellente soirée et une vaisselle collective
bien menée on file se coucher. Le dortoir ayant été chauffé avant
notre arrivée, au moment de se mettre au lit, l’ambiance est
tempérée, naturellement Christophe ne fait pas tourner le chauffage
la nuit, au matin l’ambiance est plus fraîche et certains
regrettent de ne pas avoir pris une couverture de plus.
Mercredi
20 février
Toujours
pas un nuage à l’horizon et c’est tant mieux car nous avons une
journée bien remplie. On commence par monter au lac long, encore une
fois avec le regel nocturne, la première pente est dure et nous
sortons les couteaux rapidement.
Le groupe a pris sa vitesse de croisière et assez rapidement nous arrivons sous le versant est du Balcon du Gélas. Un couloir raide (50°) nous fait sortir les crampons et mettre les skis sur le dos et nous débouchons quelques mètres sous le balcon.
Collectivement, nous décidons de tous monter au sommet du Gélas par le couloir est(45°/50°). Certains prendront leurs skis, d’autres les laisseront au pied. Pour midi, sans une once de vent et sous un soleil printanier, nous mangeons tous au sommet. On pose une petite main courante pour regagner la selle. Les plus téméraires se lanceront dans la descente du couloir est skis aux pieds. Histoire de sécuriser cet apprentissage de la pente raide, les jeunes sont assurés du haut pendant les 40 premiers mètres. Matias, Enzo, Thibaut et Nils skieront le couloir, les autres le redescendront à pied.
Le groupe a pris sa vitesse de croisière et assez rapidement nous arrivons sous le versant est du Balcon du Gélas. Un couloir raide (50°) nous fait sortir les crampons et mettre les skis sur le dos et nous débouchons quelques mètres sous le balcon.
Collectivement, nous décidons de tous monter au sommet du Gélas par le couloir est(45°/50°). Certains prendront leurs skis, d’autres les laisseront au pied. Pour midi, sans une once de vent et sous un soleil printanier, nous mangeons tous au sommet. On pose une petite main courante pour regagner la selle. Les plus téméraires se lanceront dans la descente du couloir est skis aux pieds. Histoire de sécuriser cet apprentissage de la pente raide, les jeunes sont assurés du haut pendant les 40 premiers mètres. Matias, Enzo, Thibaut et Nils skieront le couloir, les autres le redescendront à pied.
Nous filons ensuite vers le pas des Ladres, l’idée étant de perdre le moins de dénivelé possible et un astucieux cheminement nous le permet en nous offrant même du très bon ski.
La chaleur du début d’après midi et la remontée n’est pas simple pour tout le monde. En basculant versant ouest, nous perdons quelques centaines de mètres avant de remonter sur les plages de Trécolpas pour aller chercher un petit collet nous permettant de basculer dans un deuxième joli couloir (35°) qui nous mène directement au refuge de la Cougourde où nous attend Charly.
Après
avoir mis les chaussons à sécher et bu un petit coup, les jeunes
découvrent la présence d’un Loup Garou dans le refuge. On parle
ici du jeu de cartes évidemment. On se retrouve donc tous autour de
la table à jouer le rôle d’un villageois ou celui d’un loup
garou au gré des parties. Les 1500m de dénivelé de la journée, la
soupe, les pâtes, la daube et le gâteau au chocolat n’auront pas
eu raison du Loup Garou, même après le repas on remet le couvert.
Pour
cette troisième nuit, les jeunes sont plus malins et se couvrent
d’avantage, le réveil sera plus agréable.
Jeudi
21 février 2019
Après
avoir quitté le refuge à une heure raisonnable, nous gagnons le
vallon de baissette puis la cime Guillé en juste 2h.
Le paysage change, pour les jeunes de la Roya les repères ne sont plus aussi évidents, une chose se maintient c’est la couleur du ciel, bleu. La descente par les balmes du Guillé nous conduit directement à pian della casa del Ré où nous mangeons au soleil avant de remettre les peaux pour une deuxième montée plus longue que prévue. Avant d’arriver au colleto del Valasco, on prendra nos distances pour traverser des pentes raides face à l’Argentera et au Corno Stella.
La descente sur la casa cascia de Valasco ressemble un peu à la précédente et nous sommes heureux d’avoir un manteau bien stabilisé au dessus de nos têtes (sinon on ne serait pas passé là!). Si le lieu est assez insolite (ancien château de chasse du roi Victor Emmanuel) le repas ne nous a pas laissé de souvenirs impérissables. A défaut de retrouver un vrai Loup Garou, les jeunes improvisent, avec un jeu de cartes normal une partie de Loup Garou. Les 2 seront les villageois, les As les loup-garous, le jocker la petite fille, le valet la voyante et la reine la sorcière. Il n’en fallait pas plus pour rigoler encore une fois.
Le paysage change, pour les jeunes de la Roya les repères ne sont plus aussi évidents, une chose se maintient c’est la couleur du ciel, bleu. La descente par les balmes du Guillé nous conduit directement à pian della casa del Ré où nous mangeons au soleil avant de remettre les peaux pour une deuxième montée plus longue que prévue. Avant d’arriver au colleto del Valasco, on prendra nos distances pour traverser des pentes raides face à l’Argentera et au Corno Stella.
La descente sur la casa cascia de Valasco ressemble un peu à la précédente et nous sommes heureux d’avoir un manteau bien stabilisé au dessus de nos têtes (sinon on ne serait pas passé là!). Si le lieu est assez insolite (ancien château de chasse du roi Victor Emmanuel) le repas ne nous a pas laissé de souvenirs impérissables. A défaut de retrouver un vrai Loup Garou, les jeunes improvisent, avec un jeu de cartes normal une partie de Loup Garou. Les 2 seront les villageois, les As les loup-garous, le jocker la petite fille, le valet la voyante et la reine la sorcière. Il n’en fallait pas plus pour rigoler encore une fois.
On
profite de l’après repas pour faire le point sur l’avancement du
projet. Le ski-alpinisme reste la discipline dans laquelle les jeunes
veulent accomplir leur Expé. On discute des destinations, des
objectifs, des démarches qu’il faudra faire pour monter le projet.
Tout leur semble encore lointain et pourtant il est important de
commencer à se le mettre en tête. Deux ans ça passe vite et le
jour du départ il faudra être prêt.
Vendredi
22 février
Même
si cette 5ème journée a miné le moral de certains, elle garde une
importance particulière dans la constitution du groupe. C’est en
sortant de sa zone de confort que l’on progresse. Être capable de
puiser au plus profond de soi l’énergie nécessaire à poursuivre
est important. Être capable de renoncer quand l’envie n’y est
plus l’est tout autant. On devait initialement basculer par le col
de Valscura et redescendre sur Roviera, renseignements pris auprès
du gardien, la descente de cette longue vallée n’était pas
garantie. Les plans sont modifiés et nous décidons d’aller au
Malinvern. Le dénivelé est plus important mais on est assuré
d’avoir de la bonne neige à la descente et de pouvoir se laisser
glisser jusqu’à notre lieu de rendez-vous avec les parents. Le
rythme est plus lent que les jours précédents, la fatigue se fait
sentir. Léo en glissant casse le crochet de sa chaussure, rien
d’handicapant mais il faudra bricoler pour la descente. La remontée
d’un petit couloir donnant accès au plateau supérieur du
Malinvern secoue Louna. Nils en a lui aussi assez.
Pourtant après une petite pause et un peu de motivation tout le monde se remet en route le sommet n’étant qu’à 20minutes. Juste avant de déchausser les skis pour rejoindre le sommet à pied, la neige est dure, c’est exposé et on ne dit pas aux jeunes de mettre leurs couteaux. Les 5 premiers sont passés sans soucis, Léo est à l’arrêt et va mettre ses couteaux, Nils veut le dépasser et glisse. Philippe le rattrapera par le bout du ski. On s’en sort avec une grosse frayeur et une bonne leçon.
Pourtant après une petite pause et un peu de motivation tout le monde se remet en route le sommet n’étant qu’à 20minutes. Juste avant de déchausser les skis pour rejoindre le sommet à pied, la neige est dure, c’est exposé et on ne dit pas aux jeunes de mettre leurs couteaux. Les 5 premiers sont passés sans soucis, Léo est à l’arrêt et va mettre ses couteaux, Nils veut le dépasser et glisse. Philippe le rattrapera par le bout du ski. On s’en sort avec une grosse frayeur et une bonne leçon.
Yann
et Frog accompagneront tous les jeunes sauf Nils au sommet. Ce
dernier se remet de ses émotions avec Philippe.
Pour
la descente, on profite d’un tuyau du gardien pour replonger dans
un petit couloir (40°) sous la face est du Malinvern.
Le bas de la descente sent la fin du printemps, la neige est lourde et il n’est pourtant que 13h30. On récupère les affaires qu’on a laissé au refuge et on file sur la piste retrouver Laurent (le papa de Thibaut qui covoiturera tous les non 06 vers chez eux) et Christine pour les autres.
Le bas de la descente sent la fin du printemps, la neige est lourde et il n’est pourtant que 13h30. On récupère les affaires qu’on a laissé au refuge et on file sur la piste retrouver Laurent (le papa de Thibaut qui covoiturera tous les non 06 vers chez eux) et Christine pour les autres.
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Jour
1 Castérino - Baisse de Fontanalbe (option sommet du Ste Marie pour
Louna et Matias(+/-250m) - refuge non gardé de Valmasque
(+1200m/-500m)
Jour
2 Refuge de Valmasque - pas de la Fous, pas est du Clapier - glacier
du clapier - pas ouest du Clapier, sommet du clapier refuge de Nice
(+/-1150m)
Jour
3 Refuge de Nice - lac long - couloir est des balcon du gélas -
couloir est du gélas - gélas - lac mort - collet du lac de fenestre
- prairie de fenestre - pas des ladres -combe de trécolpas - plage
de trécolpas - refuge de Cougourde (+1550m/-1610m)
Jour
4 Refuge de Cougourde - cime de Guillé - balme de guillé - pian
della casa del re - colleto del Valasco - Refuge Valasco
(+1650m/-2060m)
Jour
5 Refuge Valasco - Malinvern - Refuge Valasco - Valdieri
(+1200m/-1800m)
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Nils
Ce
stage est celui que j'ai préféré de tous ceux que l'on a fait
jusqu’à présent.
La
bonne humeur du groupe, le beau temps et la neige potable étaient au
rendez-vous. L’équipe était au complet et il y avait une bonne
ambiance. J’ai beaucoup apprécié. Malgré les coups de mou que
j’ai eu, ce stage m’a beaucoup plu, avec tous ces passages dans
les refuges plus ou moins chaleureux, de belles montées dans des
couloirs, les descentes aussi ça m’a beaucoup plu, des passages
techniques et des paysages magnifiques.
Merci
Philippe, Yann et Frog. A bientôt
Léo
J’ai
trouvé cette traversée du Mercantour très bien avec un superbe
temps, avec plein de sommets. Les refuges étaient très bien malgré
les nuits froides que nous avons passées. Ce sera à refaire avec
grand plaisir.
Louna
C'était
la première fois que j'allais dans le Mercantour, j'avais hâte de
découvrir de nouveaux paysages.
D’un
point de vue émotionnel, le stage a été chaotique avec à la fois
des supers moments mais aussi des coups de mou. J'ai bien aimé la
montée des couloirs et particulièrement la montée au Gelas... Le
temps était avec nous: 5 jours de ciel bleu avec des températures
d'été qui nous ont bien fatigué . On a passé 4 supers jours avec
pas mal de dénivelé et des beaux paysages mais le 5ème jour était
je pense de trop, on aurait pu faire un plus petit dénivelé et
rester que sur de bons souvenir. A vouloir en faire trop, c'est dans
ces moments la que l'on se fait mal et on a pu remarquer à la
descente comme à la montée de nombreuses chutes. On en a eu plein
les jambes et plein les yeux mais j'aurais souhaité plus de moments
d'apprentissage.
Merci
à tous .
Matias
Je
tient tout d'abord à remercier Yann, Philippe et Frog pour leur
super humeur et sympathie, ils nous en on fait baver durant ces 5
jours dans le Mercantour : " là où l'on ski avec vue sur la
mer".
Lors de ce raid, j'ai particulièrement apprécié la cohésion au sein du groupe et le fait d'avoir une approche différente des refuges: en hiver.
C'était la première fois que je dormais dans un refuge non gardé et j'ai bien aimé le fait de voir comment s'organiser pour y passer la nuit : chauffage, repas, matériel...Cela pourrait également être sympa de voir comment s'organiser lors de plusieurs jours en autonomie.
Nous avons fait un sommet par jour approchant ou étant à 3000m et j'ai aimé pouvoir voir comment mon corps réagissait dans la durée.
Ce raid restera dans ma mémoire, dans le massif qui, je pensais était plat, mais qui fut bien raide.
À noter: la différence entre une bonne journée en montagne et une excellent journée en montagne : lors d'une excellente journée en montagne, on peut voir la Corse/mer
Lors de ce raid, j'ai particulièrement apprécié la cohésion au sein du groupe et le fait d'avoir une approche différente des refuges: en hiver.
C'était la première fois que je dormais dans un refuge non gardé et j'ai bien aimé le fait de voir comment s'organiser pour y passer la nuit : chauffage, repas, matériel...Cela pourrait également être sympa de voir comment s'organiser lors de plusieurs jours en autonomie.
Nous avons fait un sommet par jour approchant ou étant à 3000m et j'ai aimé pouvoir voir comment mon corps réagissait dans la durée.
Ce raid restera dans ma mémoire, dans le massif qui, je pensais était plat, mais qui fut bien raide.
À noter: la différence entre une bonne journée en montagne et une excellent journée en montagne : lors d'une excellente journée en montagne, on peut voir la Corse/mer
Enzo
J’ai
beaucoup aimé ce stage.
Première
nuit en refuge non gardé : ce qui m’a plu, c’est le côté
débrouillard : il faut couper le bois, aller chercher la neige pour
la faire fondre…
J’ai
un peu souffert le 4 eme jour car j’avais des ampoules mais à part
ça, le stage s’est bien passé.
Il
y a toujours une super ambiance dans le groupe et les étapes
toujours aussi belles.
Mon
moment préféré du stage a été la montée au Gélas mais surtout
la descente dans le couloir en pente raide car ça faisait longtemps
que je voulais en faire.
Merci
à Yann et Philippe pour ce stage et à l’été prochain !
Thibault
Pour
ce stage de ski de rando, j’ai apprécié de passer une nouvelle
semaine en compagnie de tout le groupe. Nous avons fait de beaux
sommets dans un cadre sauvage, et fait du bon ski même si une neige
de qualité n’était pas toujours au rendez-vous. J’ai bien aimé
la descente du couloir du Gélas. Les moments passés aux refuges
étaient plutôt sympas avec les parties de loups garous. J’attends
le stage de cet été avec impatience. Merci à Yann, Philippe et
Frog pour tout. A bientôt pour de nouvelles aventures.
Tenzin
Un
peu de mal au démarrage, il m'a fallu du temps pour me mettre dans
le bain, j’ai dû me remotiver et mettre le moteur en marche comme
je savais que les denivs se succéderaient .
Au
niveau du programme, je ne vais pas mentir, durant l'action il y a
des moments où je n'avais pas l'envie, j’avais la flemme et tous
ces facteurs qui entrent en jeu me décourageaient, (comme au moment
où on a dû repeauter plusieurs fois après le Gélas) mais
maintenant en prenant du recul je me dis que ce n'était pas rien et
que ce genre d'aventure vaut la peine d'être vécue. Des conditions
de neige pas top-top mais s’il y avait eu plus de neige nous
n’aurions jamais parcouru autant de deniv, ni les « petites »
montées de couloir en crampons ce qui m'a vraiment plus .
Sinon
toujours autant de satisfaction d'arriver au sommet et de se dire je
l’ai fait. J’ai plus ou moins aimé les nuits en refuge, bonne
bouffe même le premier jour !!
Et
au niveau du groupe une très bonne cohésion, juste au début un peu
de mal à se parler car on devait faire connaissance mais le charme
du loup garou nous a réunis.
Pour
moi c'était une belle aventure et j'espère revoir tout le monde
bientôt sur les sommets.
Super Compte rendu. apparemment le dernier jour a été "costaud" mais je suis assez d'accord avec Philippe :"C’est en sortant de sa zone de confort que l’on progresse. Être capable de puiser au plus profond de soi l’énergie nécessaire à poursuivre est important. Être capable de renoncer quand l’envie n’y est plus l’est tout autant."
RépondreSupprimerEn tout cas BRAVO àTous et cela promet, j'en suis sur un beau final qui en fera rêver plus d'un.
Jean
Bravo à tous !
RépondreSupprimerAux cadres qui ont la foi inébranlable dans l'animation des groupes "Jeunes", Philippe et Jean,
A Yann, grand artisan de la transmission des techniques et de l'esprit club alpin,
Aux jeunes enfin, pour cette prise de risque qui les démarque tant de ceux qui restent dans leur "zone de confort" et qui vivent dans le virtuel.
Je vous souhaite une bonne suite de préparation pour cette expé qui s'annonce sous des augures les plus favorables.
Jacques Baills
Encore grand bravo à chacun, vous êtes épatants! Merci à tous pour votre rencontre et votre bonh(um)eur !
RépondreSupprimerA un bémol près : ...pas la MER, Matias : la MEIJE ! (ni la "Meige", hein Yann ?). On ne le répétera jamais assez...
Rendez-vous pris pour cet été,
Frog